Voyance par téléphone sérieuse
Pourquoi les crises arrivent-elles ?
Quand on entame une relation stable, la dernière pensée qui peut venir à l’esprit des deux partenaires est celle de devoir faire face à une crise ou à une séparation un jour, ainsi que de pouvoir se détester férocement, au point de ne se sentir bien qu’en l’absence de l’ex. Dans de nombreux cas, cependant, un jour la crise frappera à la porte (et dans les couples de longue durée d’aujourd’hui, destinés à vivre ensemble pendant de nombreuses années, il peut y avoir plus d’une crise…). Il est naturel de ressentir, dans cette situation, des sentiments d’anxiété et de tristesse, ainsi que des sentiments de vide ou de perte. L’idée que quelque chose qui était si cher autrefois a volé en éclats, ou est en train de voler en éclats sous nos yeux, ne peut que générer un sentiment d’échec pour le passé et un manque d’équilibre et de perspectives, par rapport au présent ou à l’avenir. Que signifie « crise » ? Le mot « crise » vient du grec Krísis (de kríno = je juge) et signifie choix, jugement, séparation.
Lorsqu’il y a une crise, cela signifie que le moment est venu de juger, de faire des choix, de changer : tout ce qui était avant ne peut plus exister, à moins d’être transformé, adapté aux nouvelles exigences de la réalité. La crise entraîne donc la perte de l’homéostasie et la recherche du changement : c’est toujours une période de transition, qui tend vers une nouvelle stabilité, comme dans la rupture définitive, ou dans le choix de tenter une réconciliation.
Quand les crises arrivent-elles ?
Dans une relation de
couple, la crise peut être due à une trahison, à un stress trop important, au fait que les deux partenaires ont évolué différemment et qu’ils ne se reconnaissent plus pour ce qu’ils étaient, aux querelles constantes, aux changements de mode de vie ou à la naissance d’un enfant. Que signifie « se réconcilier » après une crise ? Il est évident qu’après une crise, se réconcilier ne signifie pas simplement recommencer à zéro, tout comme avant : s’il y a eu une crise, c’est parce que ce « comme avant » n’a pas fonctionné, il a généré des malaises, des querelles, des malentendus, une perte d’intérêt pour le partenaire, et la crise en est venue à exiger un changement.
Voici donc quelques conseils pour ceux qui, après la crise, décident de réessayer.
1. essayer, individuellement et en
couple, de comprendre les causes qui ont généré la crise Qu’est-ce qui ne fonctionnait pas dans la relation ? Qu’est-ce qui n’a pas fonctionné ? Qu’est-ce qui a bien fonctionné ? Une fois ces points clarifiés, il est nécessaire de repartir de ce qui a bien fonctionné, malgré tout. C’est évidemment le principal ciment du
couple, celui dont il faut plus que tout s’occuper et qu’il faut valoriser. Ensuite, il y a ce qui a peu ou pas du tout fonctionné : ici, les changements exigés du
couple sont vraiment très profonds et il est toujours bon d’essayer d’obtenir l’aide d’un thérapeute, qui peut faciliter le changement, en résolvant les petites objections ou réticences entre les deux partenaires, aussi parce qu’il ne faut pas oublier l’éloignement et le retour à une pensée égoïste et narcissique que la crise a pu provoquer chez les deux partenaires.
2. Apprendre à communiquer Parfois, la gentillesse est réservée aux étrangers, alors qu’avec les membres de la famille ou les partenaires, elle est toujours naturelle : c’est un concept erroné. En fait, être courtois et aimable ne signifie pas être faux ou construit ; au contraire, cela signifie décider d’exercer une domination sur soi-même afin de montrer à son ou ses partenaires son intérêt et son respect pour eux. Il ne faut pas oublier que parfois le manque d’intérêt envers le partenaire ne découle pas de faits marquants, mais peut être généré simplement par l’habitude établie de se sentir grossier, ou froid et détaché, ou même franchement grossier et violent. En outre, il faut aussi apprendre une saine façon de se quereller, c’est-à-dire une façon dont les deux partenaires se disent les choses clairement, mais sans jamais s’offenser. C’est un exercice d’équilibre difficile, mais on peut apprendre.
3. prendre en compte et respecter les souhaits et les besoins du partenaire Le respect de l’autre ne s’exprime pas seulement en paroles, mais aussi en actes. Respecter les besoins et les souhaits du partenaire, c’est être à l’écoute, accepter d’en parler, chercher ensemble la manière la plus appropriée de les satisfaire. Bien entendu, tous les désirs ne peuvent pas être acceptés : par exemple, certains peuvent être absolument contraires à ses propres valeurs. Dans ce cas, il est nécessaire de recourir à la médiation, en trouvant également de nouvelles solutions pour les anciens problèmes. Ici aussi, le travail de médiation du thérapeute pourrait être précieux.
4. Fixer de nouvelles règles et limites S’il existe des règles claires à respecter, aucun des partenaires ne peut prétendre avoir mal interprété la volonté de l’autre. De même, en présence d’un comportement désagréable, on peut être mieux préparé à le tolérer, sachant que certaines limites ne peuvent jamais être dépassées.
5. Pardonner Si la crise a été générée par le mauvais comportement de l’un des deux partenaires, celui qui a été lésé ne doit pas se sentir automatiquement exonéré de toute responsabilité : s’il y a eu une crise, le fait de ne pas avoir remarqué à temps le malaise de l’autre, ou de l’avoir sous-estimé, peut aussi être une erreur. Plus justement, le partenaire qui a provoqué la crise, peut-être par trahison, devrait faire preuve d’un comportement sincèrement désolé et créer les conditions pour que le partenaire retrouve la confiance. Quoi qu’il en soit, les choses à faire pour surmonter au mieux la crise sont les suivantes : analyser, comprendre, pardonner, oublier.
6. Essayer de faire quelque chose de spécial ensemble Les expériences de vie commune qui produisent des émotions positives (joie, intérêt, fierté, empathie) tendent à créer des liens plus étroits. Ils ne doivent pas nécessairement sortir de l’ordinaire : dans la vie de tous les jours, vous pouvez choisir de faire des choses, ou de fréquenter des personnes et des situations, capables de transmettre des sentiments agréables et satisfaisants à partager.
7. Apprendre le travail d’équipe Décider de continuer à vivre ensemble nécessite un engagement renouvelé les uns envers les autres, une impulsion, qui cette fois-ci peut non seulement partir du cœur, mais aussi être rationnelle, pour recréer une atmosphère d’affection, de solidarité, de bien-être. Après tout, si l’on a opté pour la réconciliation, on est évidemment conscient que, pour son propre bien-être et pour ses propres valeurs, vivre ensemble avec son partenaire, apprendre à jouer en équipe, c’est-à-dire partager la bonne et la mauvaise fortune, est décidément mieux que de vivre une vie dans la tourmente et l’incertitude, dans laquelle la satisfaction de la vie coïncide avec le seul intérêt personnel. Tous ces choix sont-ils « tête » plutôt que « ventre » ou, mieux, « cœur » ? Peut-être, mais c’est probablement pour cela qu’ils font en sorte que le
couple fonctionne mieux qu’avant.
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