La compréhension de cette réalité a fait comprendre à des millions et des millions de personnes en Occident que, quels que soient les rites, les principes ou les dogmes des religions professés par la culture, le système de croyances ou leurs propres convictions, Dieu a atteint une nouvelle dimension de l’âme humaine. Ces derniers, créés à l’image et à la ressemblance des premiers, apparaissent comme un digne héritier des attributs divins, avec la nécessité de les développer pour atteindre leur propre bonheur.
Nous sommes des vraies voyantes et voyants
Tout cela sous deux principes indiscutables encadrés dans les lois divines : le libre arbitre et la responsabilité individuelle. Les deux questions conditionnaient fortement certains principes religieux, qui affirmaient que pour atteindre le ciel ou se sauver de l’enfer, il suffisait d’avoir la foi, de confesser ou de suivre certains sacrements de toute religion dispensés par des hommes qui s’arrogeaient le pouvoir de pardonner « au nom de Dieu ».
Cela a été fortement détruit par la raison, la logique et les lois spirituelles que Jésus a découvertes pour l’évolution de l’âme. Ce n’est pas que la foi ou les sacrements aient été des obstacles, bien au contraire, mais ils n’ont pas été la clé qui a permis le salut de l’âme ou sa régénération morale. Cette dernière a été trouvée dans les postulats vécus et pratiqués de « l’Amour de Dieu et du prochain ». Et en dehors de cela, toute foi, confession, autorité religieuse ou sacrement qui n’envisageait pas ce principe était absolument sacrifiable et inutile pour obtenir la rédemption de l’âme humaine.
C’est alors que l’être incarné et désincarné, dans les étapes qui passent d’une vie à l’autre sur Terre, a pris pleinement conscience de l’importance de corriger ses erreurs, d’éliminer ses dettes et d’embrasser définitivement les « mérites » que l’âme devait conquérir, par ses actes, pour se libérer de la souffrance, de l’ignorance et des erreurs qui le conduiraient à une nouvelle étape plus heureuse et plus heureuse demain.